(Psaume 103.1, 2, 22, version Segond traditionnelle)
En cette période intense de l’année ecclésiastique, qui va de Pâques à la Pentecôte, si nous nous laissions inspirer par le psaume 103 ?
Les deux premiers versets de ce psaume de David nous sont familiers : ils ont été utilisés par des générations de protestants comme prières avant le repas:
« Mon âme, bénis l’Éternel !
Que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom !
Mon âme, bénis l’Éternel,
Et n’oublie aucun de ses bienfaits ! » (v.Segond)