Références Bibliques : 2 Cor 12/9, 1 Sam.15/22-23, Lam.3/19-24

Nous voici au premier dimanche de 2021. Permettez-moi de vous souhaiter à toutes et à tous une année bénie sous le regard de notre Dieu.

Une année 2021, pleine de bénédictions dans tous les domaines de notre vie, que ce soit dans nos familles, notre travail, notre santé et nos projets ainsi que notre vie d’église.

Que notre Dieu qui est maître des circonstances puisse nous donner de prospérer dans ses voies avec constance et fidélité.

Nous voici donc au seuil de 2021 avec ses inconnues et les choses prévisibles. Face à cela, une certitude que notre Dieu voudrait nous rappeler ce matin afin que cette réalité nous conduise tout au long de cette nouvelle année.

Cette certitude, cette réalité s’exprime à travers deux passages des Ecritures que j’aimerais méditer avec vous.

Références Bibliques : Sophonie 3/14-18, Phil.4/4-8, Luc 3/10-18

Lorsque j’étais enfant, on chantait un vieux cantique dont les paroles disaient :

« C’est la joie, c’est la joie du ciel ! » et le dernier couplet disait : « Ô, la joie immense infinie de donner à Jésus sa vie, de combattre et lutter jusqu’au bout ! Avoir la victoire en tout et partout. »

Voilà le thème de notre méditation, ce dernier dimanche de l’Avent 2020.

Références Bibliques : Ps 11, 3, 5 ; Ps 121

Au Psaume 121/1, le psalmiste se pose une question d’actualité et appropriée à notre époque : « D’où me viendra le secours ? »

Une question que nous pourrions, facilement, nous poser aujourd’hui, face à ce que nous traversons comme difficultés, peur, doute, au fait, devant tout ce qui peut nous déstabiliser dans notre vie de tous les jours.

Références Bibliques : 1 Cor 13 ; 2 Pierre 3/8-14

Nous voici à une étape supplémentaire sur le chemin du souvenir et du rappel de cette période de l’Avent.

Martin Luther a dit : « Nous avons besoin d’entendre l’évangile tous les jours, parce que tous les jours, nous l’oublions ! »

Références Bibliques : Juges 6, Ps 80

Nous voici au premier dimanche de l’Avent, période durant laquelle nous sommes invités à réfléchir à l’immensité de l’amour de Dieu manifesté à travers la venue de Christ sur terre.

Le Ps.80 est un appel au secours, un appel qui monte vers Dieu et, encore une fois, nous voyons que Dieu ne reste pas insensible aux cris de ceux qu’il aime.

La période de l’Avent est un puissant rappel de l’agir de Dieu en faveur de l’humanité.

Références Bibliques : Ézéchiel 34/11-17 ; PS.23 ; 1 COR.15/20-28, MAT. 25/31-46

Il y a Berger et berger, comme il y a Maçon et maçon, qui n’a jamais dit ou pensé des expressions tel que « Si celui-là l’est !!! Alors moi, je suis le suis aussi ? »

L’Abbé Pierre, dans un petit livre*, dit : « Il faut être un croyant croyable ». Ce qui nous amène à nous poser la question suivante : pourquoi un tel propos peut sortir de notre bouche ou traverser notre esprit ?

Références Bibliques : Psaume 46

Lorsque j’étais enfant à l’école primaire on chantait une chanson dont le refrain était : « L’important, c’est la rose, l’important c’est la rose, l’important, c’est la rose, crois-moi ! »

D’où le titre de notre méditation d’aujourd’hui : « Connaître Dieu, voilà l’essentiel ! » On pourrait dire suivant le refrain de la chanson de Bécaud, « L’important, c’est connaître Dieu ! »

Références Bibliques: Philippiens 4/ 6-7 ; Ésaïe 26:3; Mat 6/8, 24-32

« Les yeux fixés sur Jésus, je le suis pas à pas ! » Ce sont des paroles d’un vieux chant qui résument bien la foi qui devrait nous animer durant cette période compliquée.

Aujourd’hui, nous avons l’occasion durant ce culte de penser plus particulièrement à la création et à sa place pour nous, à sa place dans nos priorités, à sa place en vue de nous conduire à Dieu.

Je vous épargnerai ce matin les nouvelles alarmistes nous rappelant une nouvelle fois combien la terre, notre terre, cette planète va mal. Combien depuis ces 100 ou peut être devrais-je dire depuis ces 50 dernières années la terre s’est considérablement dégradée. Depuis la révolution industrielle, il y a une bonne centaine d’années, ou plus récemment depuis que le monde a perdu nombre de ses repères. Continuer la lecture →

I Thessaloniciens 5 : 17

Une image d’Épinal : une enfant est agenouillée, mains jointes, les yeux fermés : elle prie !

Reprenons ces 3 composantes de l’attitude de prière. Lorsque nous voulons prier, oui, nous fermons les yeux… mais l’esprit, le cœur, l’âme restent bien ouverts aux réalités de la condition humaine dans notre entourage et jusque dans son étendue planétaire. Continuer la lecture →